Je suis un garçon, fils de John Sheppard et Serena Svensson, les yeux bleu, le nez de ma mère si j’en crois le docteur qui viens de couper ma liaison maternelle, je braille, je pleure, mes poumons ont du mal a accepté l’air artificiel, de ce qui est un morceau de Suède dans le vide spatiale et au loin je vois mon père s’éloigner, lui le capitaine du projet Cerberus.

Et s’envole alors le premier quart de ma jeunesse, j’ai cinq voir six années de vie derrière moi et je n’ai encore jamais touché le sol, membre forcé du projet Cerberus, cette initiative pris par les pays de l’union nord-européenne qui a pour but au cas où Terra Nova échouait de nous trouver une nouvelle planète habitable, non naviguons vers La Nouvelle-Lune un planète semblable à la terre, ça fait déjà 10 ans pour mes parents, non pas que elle se trouve loin de nous, ils nous faut tout au plus huit ou neuf mois pour y parvenir, si on traverse un trou noir, c’est juste qu’ils ont fait le tour de la galaxie et même au-delà histoire de trouvé notre terre promise.

Et le temps passe j’ai bientôt dix-huit années, je sors de l’école des aviateur, quoi de plus logique pour moi, Dante Ader Sheppard, moi ce garçon qui tiens son second prénom de l’aviateur Français qui a un jour eu l’idée folle de l’avion, et un ans plus tard on me demande de retourner sur Terre, je quitte l’Asgard, notre vaisseau pour l’infernale désert qu’est devenue notre mère nature, et à vingt ans je mets pour la première fois pied sur du vrai sol.

La chaleur est horrible, je suffoque souvent, moi un enfant-colon, j’atterris dans ce qui est censé être ma patrie, la Suède, enfin ce qu’il en reste du moins, des photos de nos ancêtres, il manque les océans et les animaux, la glace n’est plus, il ne reste que roche, sable et idylle souterrains, grottes où avec un peu de chance on trouve de l’eau, j’ai à peine le temps de m’adapter que je suis déjà dans un avion de combat, un Star Gripen, avion suédois, évolution du célèbre JA39 , avion qui à servit dans la première guerre du tiers-monde, aujourd’hui l’ennemi est … L’Afrique, bien que je ne cautionne guère l’idée de maté les plus faible pour garder un semblant de pouvoir sur un monde en ruines, m’enfin à l’époque j’étais un militaire chien de Marine Royale Suédoise.

Tout pour un début se passe comme prévu, les tirs portent leurs fruit, les ogives nucléaires lancées, infectes leurs ressources, en dix-huit jours la guerre est gagnée, et au moment de rentré un seul avion ce fait abattre, le mien une rocket bien placée, j’perds l’usage d’une main, vite réparée, et je suis réformé, le vol, l’ivresse, l’ivresse de la vitesse c’est terminé pour moi.

Nous somme en 2143, j’ai 21 ans, je suis le seul blessé militaire depuis bientôt trente années, la royauté de mon pays tiens à marquer le coup, on m’offre des billets de loterie pour Terra Nova, on m’en offre jusqu’à ce qu’un des tickets sois-gagnant, le 4 mars je passe le vortex, je suis l’un des dernier voyageurs du premier pèlerinage à débarquer. Bienvenue chez les dinosaures.

Et là vint la déception, ça fait sept années maintenant, et toujours pas de moyen de voler, pas d’avion déplacé … je suis un peu malheureux au sol et depuis 2145 j’ai l’idée folle de vouloir monter un Ptérodactyle plus particulièrement un Gripen, un lézard volant de plus de quatorze mètres d’envergure et qui paraissait moins dangereux que son cousin carnivore enfin c’est comme ça que l’appel Dante et le reste de Terra Nova, un nom qui viens du petit Sheppard en référence à l’avion Suédois du même nom et de la créature mythologique dite : Griffon.
Cela va faire 4 années que j’essaye, sans trop de réussite importante, j’ai noué une sorte d’amitié avec une mère Gripen, je lui donne à manger , à elle et ses petits, elle m’a permis pour le moment d’installé une selle de vol, enfin j’appelle ça comme ça moi et une ou deux fois de monter dessus, pour l’instant elle refuse de s’envoler, faut que je puisse l’équiper à la manière des chevaux pour pouvoir diriger, l’avenir nous dira si je deviendrais le premier aviateur de Terra Nova, ce qui est certain c’est que si j’y arrive j’ouvrirais une école.