◮ MESSAGES : 124 ◮ DATE DE NAISSANCE : 06/08/1994 ◮ ÂGE : 30
CARTE D'EMBARQUEMENT ◮ BILLET DE DEPART : recrutement. ◮ SECTEUR D'ACTIVITÉ : recherche. ◮ SECTEUR D'HABITATION : nord.
Sujet: shakespeare sweets ✖ anyone can be killed Jeu 13 Déc - 17:53
Shakespeare Lip Sweets
ft. andrew garfield
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SURNOM(S) → shake, shaky, sweets AGE → vingt-quatre ans ORIGINE → anglaise DATE/LIEU DE NAISSANCE → 22 janvier 2125 STATUT CIVIL → célibataire comme une pomme de terre PELERINAGE → le quatrième pèlerinage SECTEUR D'ACTIVITE → recherche HABITATION → le quartier nord LOTERIE OU RECRUTEMENT → recrutement
Le père de Shakespeare a toujours été très fier de son intelligence : il était le meilleur de sa promo à la fac, lycée, collège, ... Ҩ Il a toujours été intéressé par les sciences, c’est ce qu’il l’a poussé à faire des études scientifiques (il est devenu entomologue, c'est à dire spécialiste des insectes. Cela résulte d'une vraie passion car il était doué dans toutes les matières, particulièrement la physique, la chimie et les mathématiques) Ҩ Né pauvre, il se bat pour obtenir ce qu’il veut, cela le pousse à travailler avec acharnement : il n’abandonne jamais et c’est ce qui fait de lui un bon chercheur Ҩ Il aime apprendre et pourrait se documenter pendant des heures et des heures sur un sujet ayant pu l’intriguer dans la journée Ҩ Il est vif dans ses réflexions et hyperactif dans ses actions. Il a besoin de se dépenser, c’est pourquoi le métier de chercheur à Terra Nova lui convient parfaitement Ҩ Il sait être très sérieux mais cela ne l’empêche de savoir s’amuser et aimer sortir, prendre un verre avec des amis. Il est très joyeux dans tout ce qu’il fait/entreprend Ҩ Il est volontaire Ҩ Il aime braver les dangers et jouer avec les interdits. Certains le pensent même suicidaire, mais ce n’est pas le cas, il tient à la vie Ҩ Il connait parfaitement les gestes de premier secours. Ayant une bonne mémoire, il connaît quelques astuces en cas de problème dans la jungle préhistorique Ҩ Loin d’être susceptible, il ne se prend jamais la tête et est plutôt cool, sauf devant un problème en lien avec ses recherches. Ne pas trouver peut le rendre fou pendant un moment Ҩ Malgré sa profession, il suit beaucoup son intuition, ce qui étonne beaucoup de personnes qui ont tendance à croire que l’intuition est aux flics ce que la raison est aux scientifiques Ҩ Quand il a une idée derrière la tête, il ne la lâche pas et est prêt à tout pour la réaliser : il est têtu et borné. Ҩ Pour arriver à ses fins, il peut devenir imprévisible et audacieux Ҩ Il le cache, mais il a une très grande sensibilité. Sa vie « à la dure » lui a permis de se forger une carapace, mais elle est plutôt fragile. Ҩ Tout le monde a des gros défauts, et Shake s’avère être une personne plutôt jalouse Ҩ Cependant, rares sont les personnes qui le connaissent en profondeur à part son père. Il aime se retrouver seul parfois. Cela le repose Ҩ
BEHIND MY AVATAR
PSEUDO → j'en ai pas vraiment. gaublin, pony... je préfère mon prénom, Flora, c'est quand même plus élégant... AGE → dix-huit ans AVATAR → votre avatar ici CREDITS → crédits de l'image ci-dessus AUTRE → je ne suis pas sûre que vous ayez eu une idée aussi bonne que celle de réouvrir TN... si oui, je veux l'entendre cette fameuse idée, j'ai du mal à y croire...
Dernière édition par Shakespeare L. Sweets le Ven 14 Déc - 19:20, édité 7 fois
Shakespeare L. Sweets
◮ MESSAGES : 124 ◮ DATE DE NAISSANCE : 06/08/1994 ◮ ÂGE : 30
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Sujet: Re: shakespeare sweets ✖ anyone can be killed Jeu 13 Déc - 17:54
TELL ME YOUR STORY
« Je sais Odyssée ! Je sais que tu n’as soi-disant pas le choix ! Excuse-moi d’être pauvre » Ce dernier mot, il l’avait craché, voire vomi, à la face de sa conjointe. Elle voulait partir ? Qu’elle s’en aille. C’est qu’elle ne l’aimait pas tant que ça au fond. « Alex… Ne le prend pas personnellement… Mais il a de l’argent et avec ma maladie… Il saura quoi faire pour que je puisse guérir… Comprend-moi… » Elle tentait de le convaincre, de lui montrer qu’elle était toujours aussi folle de lui… N’avait-elle pas laissé son monde privilégié pour le suivre ? Ne voyait-il pas cela comme une marque d’amour ? Mais les traits de son visage restaient durs et fermés alors qu’il portait dans ses bras le fruit de leur amour. « Ouais… Et une fois guérie, tu ne pourras pas revenir de toute façon… Je suppose que notre histoire s’arrête ici… » Ces mots, une fois prononcés, avaient brisé ces deux personnes intérieurement. Chacun tentait d’éviter la crise de larme, mais Alexander fut le meilleur comédien. « C’est moi qui garde Shakespeare. Il est hors de question qu’il mette les pieds là-bas » Le soir même, les valises d’Odyssée étaient faites. Le soir même, elle toquait à la porte de son ex-conjoint. Le soir même, elle retournait dans ce milieu privilégié en laissant derrière elle un homme et son garçon.
« Allez mon grand ! On doit y aller, même si tu ne te rappelles plus d’elle » Shakespeare n’avait jamais connu sa mère. Enfin si, mais selon ce que disait son père, elle a du partir alors qu’il n’avait que deux ans. Ils devaient se faire beaux, même si l’argent manquait chez eux… À huit ans, il comprenait que c’était important d’aller à cette cérémonie mais d’un autre côté… il n’arrivait pas à être triste. Elle était une inconnue pour lui, et sans trop le vouloir, il n’avait jamais vraiment accepté le fait qu’elle les ait abandonnés. Ce qu’il appréciait dans la relation avec son père, c’est qu’ils ne se cachaient rien. Pour un enfant, c’est normal de tout dire à ses parents… mais Alexander faisait un effort particulier pour que son fils n’ait pas à tomber des nues un jour. Il tentait d’être le plus franc possible, en espérant que cela ne se retournera pas contre lui un jour. De toute façon, il était difficile de mentir à Shakespeare qui était le genre d’enfant à deviner les choses en analysant les situations. « Papa… T’as trop serré mon nœud… J’aime pas les nœuds… » Il préférait être en tenue décontractée, au moins, ça ne coûte pas cher. S’il y a bien une chose de « grands » qu’il a comprise, c’est bien celle-ci : son père ne peut pas tout offrir, il a vu la facture un jour, et le montant de ce qui ressemblait aux dépenses était plus élevé que celui des gains. Il dut tout de même se débrouiller tout seul pour le noeud, mais n’y arrivant pas, il abandonna vite l’idée et suivit son père jusqu’à la cérémonie en l’honneur de sa mère, morte il y a peu de son cancer. Arrivé sur les lieux, un malaise le prit d’un coup. On dit que les enfants savent s’adapter à toutes les situations, mais ce n’est pas entièrement vrai… Il se sentait mal et voulait rentrer à la maison, en dehors des dômes. Là-bas au moins, les gens le regardaient comme l’un des leurs. Pas comme un étranger. Ils se sont faits silencieux et discrets et ne sont pas allés voir les personnes pour qui leur mère les avait laissés. C’était purement et simplement en devoir de mémoire qu’ils étaient présents… Et peut-être aussi parce qu’Alexander n’avait jamais oublié son Odyssée.
* * *
« Oui, Shakespeare ? » — « Dans le cas d’un solide ionique, il s’agit de la dissolution, madame Hitz » — « Parlez moi de ses trois étapes, je vous prie » — « La première est la dissociation des ions du solide dans l’eau, la deuxième est l’hydratation de ces ions maintenant séparés et la troisième, leur dispersion dans la solution » — « Bien… Donnez-moi l’équation de la réaction de dissolution du chlorure de sodium » Et il ne se fit pas prier, encore une fois. Shakespeare était l’élève aimé et détesté à la fois. Celui que tout le monde déteste parce qu’il est premier de classe, bizarre mais sympa, et pas moche. Le genre de gars à qui on ne peut reprocher que sa pauvreté. Il était au lycée et tous étaient sûrs et certains qu’il ferait de grandes études en ayant une bourse chaque année pour l’aider… Lui aussi en était sûr, même s’il gardait une certaine humilité. Ceux qui connaissaient sa vie le trouvaient brave et courageux. Il étudiait durant les pauses pour ne plus avoir grand chose à faire chez lui ; cela lui permettait de pouvoir aider son père qui semblait se perdre sous les dettes. « Pa’… On peut pas continuer comme ça… On doit trouver un moyen de payer ces putains d’arnaqueurs ! Ou alors… Je n’sais pas moi ! Leur faire peur ! On va finir par nous expulser, tu le sais aussi bien que moi ! » Alexander vint prendre son fils dans ses bras pour calmer cette rage qui le consumait. Il avait en effet une idée du futur qui pouvait les attendre, mais il ne voulait pas que Shakespeare s’embarrasse avec ces choses. « Arrête de penser à ça… L’argent, c’est mon affaire, d’accord ?... Toi, tu t’occupes de tes études. Si tu les réussis, tu épargneras cette vie à tes enfants » Il faudrait déjà qu’il fasse des enfants. Quand il regardait le monde dans lequel ils vivaient, il n’avait pas vraiment envie de participer à la perpétuation de l’espèce humaine…
« Mademoiselle Nymphadora… Vos notes sont inadmissibles ! Vous descendez en dessous du 5 dans toutes les matières ! » La jeune fille leva les yeux au ciel, ne cachant pas son agacement face à madame Hitz. « Ne me regardez pas comme ça ! J’ai décidé de vous attribuer des cours particuliers, obligatoires. Monsieur Shakespeare, veuillez accorder un peu de votre temps à votre camarade de classe… Cela devrait baisser votre moyenne de seulement 0,1. » — « Quoi ?! Vous ne pouvez pas être sérieuse ? C’est une blague ? » — « Pour une fois, j’suis d’accord avec l’intello » Il la déteste. Elle le déteste. Il la trouvait superficielle quand elle le trouvait trop sérieux… Elle ne le connaissait même pas en dehors de l’enceinte du lycée, comment pouvait-elle dire cela ?! Il était régulièrement avec des amis dans des soirées chez l’un ou chez l’autre… Elle n’avait juste pas l’honneur d’y participer. Se voir en dehors pour des cours particuliers qui, selon les deux camps, n’allaient servir à rien semblait être une idée stupide ; ils n’eurent pas le choix… Madame Hitz est du plutôt terrifiante quand elle y met toute sa volonté. « Chez moi à 18 heures. Si t’arrives en retard, je t’ouvrirai pas et tu pourras mourir asphyxié dehors » Ce fut à son tour de lever les yeux au ciel, mais il ne discuta pas. Il n’avait ni la force, ni l’envie de répondre à une poupée tout juste sortie de sa boîte. Il arriva cinq minutes avant, mais n’ayant strictement aucune envie de passer cinq minutes de plus avec elle, il attendit le doigt juste posé sur la l’interphone. À l’heure tapante, il appuya enfin et quelqu’un vint ouvrir la porte. « Bienvenue chez les Callaway monsieur Jefferson » Ah. Juste ça. Un majordome. Il fut un peu surpris quand celui-ci prit son manteau mais il ne dit rien, préférant garder le silence plutôt que de dire un mot de travers. L’employé le conduisit à la jeune fille qui était sur son ordinateur, à rire d’on ne sait quoi. L’homme présenta Shakespeare et un regard de feu et de glace sembla détruire la chambre. « Je pars dans une heure » fut la seule phrase d’introduction. Ils commencèrent un cours, mais le désespoir était au centre de tout… Nymphadora ne semblait pas vouloir faire un seul effort. Avant de partir, Shakespeare osa tout de même rétorquer en guise d’au revoir une petite pique pour la faire réagir sur sa vie « Tes parents te donnent tout, ça se voit… Mais si tu ne travailles pas, comment est-ce que tu comptes garder et t’en occuper ? » Il s’engouffra ensuite dans la rue, où il dut combattre contre cet air pollué qui cherchait à le tuer.
* * *
« Allez, Nymph’, dépêche ! Faut pas qu’on soit en retard le premier jour ! » — « Eh… Déstresse… C’est à deux minutes et ça commence dans dix… » Shakespeare ne put s’empêcher de rire, mais le mauvais air en profita pour vouloir s’attaquer à ses poumons. Toussant mon masquer son étouffement, il finit par se reprendre sous l’œil inquiet de la jeune fille. Ils reprirent leur marche d’un pas plus rapide et entrèrent le plus vite possible dans le bâtiment de l’école. Ils avaient tous deux été acceptés dans cette grande faculté de sciences, même si pour elle, il avait fallu un peu de piston… « Tu vois… On est à l’heu… » Une cloche sonna et ils durent se mettre à courir dans des couloirs qui leurs étaient inconnus pour retrouver la classe où leur premier cours avait commencé. Salle 216 ? Ne devaient-ils pas commencer en salle 109 ? Ils avaient du prendre le mauvais escalier et la panique se fit sentir chez les deux jeunes gens. « Où allez-vous comme ça ? » Ils se retournèrent et reconnurent « Madame Hitz ?! » Elle était également professeur en école… Décidémment… Il fallait qu’elle soit partout où ils allaient… Elle gardait son air mécontent en s’approchant d’eux avec son air de tyran… Mais ses mots contrastèrent un peu avec sa posture « En quelle salle devez-vous vous rendre ? » En quelques tournants, ils furent en salle 216 avec une excellente excuse : « Ce sont mes anciens élèves, je les félicitais d’avoir été acceptés… Excuse-moi, je les ai retardés » Le professeur fit un clin d’œil à la chimiste, ce qui n’eut pour effet que de donner la nausée aux élèves. Ils furent invités à s’asseoir, et le cours commença. « J’y crois pas que madame Hitz soit prof ici aussi… Elle me poursuit ou quoi ! » — « Arrête de te plaindre, elle nous a évité un retard dés le premier jour… C’était plutôt… un peu… gentil ? » Le cours était maintenant terminé et ils avaient décidé de visiter leur nouvelle faculté. Shakespeare se souvenait encore de ces années où il prenait Nymphadora pour une fille superficielle et pauvre d’esprit. Il avait fini par comprendre que non, et ils s’étaient incroyablement rapprochés, au point de devenir meilleurs amis. « Au fait, on vous invite toi et ton père à dîner vendredi. On refuse les refus » — « En quel honneur ? » — « Je ne sais pas… Quand je dis « on », c’est mes parents surtout »
« Bienvenue chez les Callaway messieurs » Shakespeare le connaissait bien maintenant, le petit Edgar. Il est plus âgé que lui, mais il aime le surnommer ainsi. Il le salua d’un mouvement de la tête et lui donna son manteau, invitant son père à en faire de même. Ils furent emmenés dans la salle réservée au dîner — car il y a également la salle aux petits déjeuners et aux déjeuners ; à quoi bon à notre époque ? — où ils s’installèrent après avoir salué leurs hôtes. Monsieur et madame Callaway appréciaient beaucoup Shakespeare et étaient persuadés que lui et sa fille sortaient ensemble, ce qui est loin d’être le cas, malgré les apparences parfois. « Alexander, mon épouse et moi avons été très impressionnés par les progrès scolaires de Nymphadora suite aux cours particuliers de votre fils… Nous aimerions vous remercier en vous offrant 10% des actions de notre entreprise » Shakespeare s’étouffa avec le peu d’eau potable qu’il avait dans son verre et se tourna vers son amie, l’interrogeant seulement du regard pour savoir si elle était au courant. Elle l’assura que non, et la conversation suivit. Ils refusèrent d’abord, mais comme l’avait dit Nymphadora… Les Callaway refusent les refus.
* * *
« Monsieur Shakespeare Jefferson… Je suis heureuse de vous remettre votre diplôme après vous avoir suivi depuis le lycée… » Un grand sourire triomphait sur son visage. Il avait réussi… À 23 ans, il était diplômé et major de sa promotion — c’est le truc cool quand on a sauté des classes plus jeune. Sa vie s’était métamorphosée avec la fac… Son père n’avait plus de problème d’argent, enfin plus vraiment, depuis qu’il s’était vu devenir actionnaire d’une des plus grosses entreprises du pays, il avait un diplôme qui allait lui permettre de faire un métier qu’il aime, dans la recherche. Après la cérémonie, il ne put s’empêcher de courir dans les bras de son père. « Ta mère serait fière de toi, Shakespeare… Elle nous aimait tu sais… » Le sourire du garçon fut moindre, mais il persistait. Il savait que son père n’avait jamais pu oublier sa mère, et il trouvait ça touchant même si lui, il ne pouvait la voir que comme une lâche. Elle était partie pour vivre, mais était morte de toute façon… Et loin d’eux. « Allez, va voir Nymphadora, elle t’attend » — « Merci papa » Il marcha rapidement vers celle qui l’avait accompagné durant toutes ces années et ils restèrent enfermés dans les bras de l’autre durant quelques minutes. Même elle avait su son diplôme… Elle, Nymphadora Callaway, 4.7 de moyenne au lycée ! « On l’a fait finalement, on a réussi, hein ? » — « Ouais… C’est incroyable… » — « Tu vas me manquer, tu le sais ça ?T’as toujours été comme mon petit frère… Ton départ, je sais pas comment le prendre » — « À moi aussi, tu vas me manquer mais… De quel départ tu parles ? » — « Ton père ne t’en a pas encore parlé ?... Pourtant, il nous a appelé dés qu’il a su… Tu pars pour Terra Nova, Shake ! Tu as été recruté ! » Une vague de frissons parcourut tout son corps alors qu’il se rendait compte qu’un des plus grands rêves de tous venait de se réaliser pour lui. Il embrassa Nymphadora sur la joue et courut vers son père en lui demandant comment est-ce qu’il l’avait su. Celui-ci sortir une lettre pliée de sa poche en s’excusant de l’avoir ouverte… Mais en voyant d’où venait le courrier, il n’avait pas pu s’en empêcher. « C’est une nouvelle vie pour toi, Shakespeare… Tu vas enfin pouvoir connaître la vraie vie… L’air pur, les étoiles, … Tu feras des recherches là-bas, tu pourras découvrir des choses nouvelles » — « Mais… Tu ne peux pas venir ?... Je vais être… Je vais être tout seul. Je suis quoi sans toi ? » Les deux hommes avaient les yeux embués de larmes. Ils étaient tout l’un pour l’autre et l’heure de se séparer était finalement venue. Derrière ses airs de bonheur, Terra Nova le séparait de l’être qu’il aimait le plus.
« Au revoir mon garçon, et fais attention à toi, d’accord ? » — « Non, je vais à Terra Nova et me détruire » répondit Shakespeare avec un petit sourire moqueur. Son père lui tapa l’épaule avant de le prendre dans ses bras pour la dernière fois. Terra Nova, c’était la perspective d’une nouvelle vie et il en était heureux… Mais il laissait tellement de choses derrière lui. Il avait été recruté seul, sans pouvoir ramener quelqu’un avec lui… Il se tourna vers Nymphadora qui se mit soudainement à pleurer. « Hey… Non… Tu vas me faire chialer aussi… Arrête, s’il te plaît… Allez, viens là… » Ils s’enlacèrent durant longtemps aussi, se remémorant sous forme de flashback toutes les étapes de leur relation. « Je suis sûr qu’on aura l’occasion de se revoir… Si tu ne te fais pas recruter, t’apparaîtras à la loterie, ok ? Fais un caprice à ton père, je sais pas moi… C’est un homme puissant, tu sauras le convaincre de tout faire pour toi, non ?... Ce serait bête de séparer un frère de sa sœur pour un monde qui se dit meilleur » Si elle ne semblait pas convaincue, elle en sourit au moins. Il déposa un long baiser sur son front, embrassa son père et partit pour de bon, laissant cette vie derrière lui.
Alwyn-Jewell Jernigan
Equipe de choc
◮ MESSAGES : 600 ◮ DATE DE NAISSANCE : 28/12/1994 ◮ ÂGE : 29
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Sujet: Re: shakespeare sweets ✖ anyone can be killed Ven 14 Déc - 19:40
comment j'aime ton histoire et ta façon d’écrire
bienvenue à terra nova !
Te voilà validé, tu fais désormais partie des habitants de Terra Nova ! Avant toute chose cher citoyen, il y a quelques petits trucs que tu dois régler pour qu'on s'assure que tu sois arrivé ici en toute légalité. Pour éviter de te retrouver confronter à ton clone dans la colonie, passe remplir le formulaire qui te permettra de réserver ton avatar. Ensuite passe donc par ici pour nous aider à mettre à jour le registre des pèlerinages. Si tu es âgé de plus de 16 ans, tu as forcement trouver un travail dans la colonie, pour cela il y a aussi un formulaire à remplir après avoir lu l'annexe sur les métiers de Terra Nova. Une fois tous cela fait, il ne te restera plus qu'a créer un sujet pour tes liens et un autre pour tes rp en cours histoire de ne pas t'y perdre. Et puis si l'envie te prends de créer un scénario c'est par ici. Allez maintenant cours, vole, va t'éclater avec les dinos, te voilà dans un nouveau monde \o/ !
Emily Damhait
Equipe de choc
◮ MESSAGES : 380 ◮ DATE DE NAISSANCE : 06/07/1996 ◮ ÂGE : 28
CARTE D'EMBARQUEMENT ◮ BILLET DE DEPART : recrutement. ◮ SECTEUR D'ACTIVITÉ : relationnel. ◮ SECTEUR D'HABITATION :
Sujet: Re: shakespeare sweets ✖ anyone can be killed Ven 14 Déc - 19:46
REEEEEEEEEEEE Bienvenue
Shakespeare L. Sweets
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Sujet: Re: shakespeare sweets ✖ anyone can be killed Ven 14 Déc - 20:10
Merci à vous deux
Je me lance dans l'invasion du foruuuum
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Sujet: Re: shakespeare sweets ✖ anyone can be killed