Les hommes victimes de leur propre machinerie, ont fini par tous nous tuer, nous étions bien là, mais sans espoir de survivre. La terre était devenue qu'une surface de désespoirs. A peine nous posions le pied par terre, que la seule image qui nous était, présentée, était des cadavres, de la technologie et des bâtiments collés-serrés. Quand est-se comprends t-il que tout ça était inutile ? Que nous aurions très bien put avoir une vie meilleure sans toutes ses inventions inutiles soit-il. L'oxygène manque, l'air est toxique et nous avons besoin d'un masque pour ne pas s'asphyxier en dehors du domicile. Ce n'est pas triste...c'est désespérant.

« Papa, passe moi une autre assiette s'il te plaît. » Il lui tendit machinalement la nourriture, qu'elle attrapa aussitôt. Une habitude, exactement, depuis très longtemps, il travaillait en tant qu'aide dans des associations contre la faim, pour les moins chanceux. Malgré la situation dans laquelle ils vivaient, il écoutait son cœur et parvenait à donner un coup de main aux autres. Sa fille, Meredith, tenait ça de lui, c'est pour ça, que chaque soir, en rentrant de l'école, elle en faisait autant. On ne lui avait jamais demandé, elle l'avait fait de son plein grès. Ce ne fut pas le style de femme, à se soucier de son apparence ou encore moins d'avoir un petit copain, enfaîte la seule chose qui comptait c'était rendre heureux les gens, ce qui lui remontait le moral en voyant la catastrophe de cette planète. « N'oublie pas te faire tes devoirs, c'est important pour ton avenir. » Elle relevait la tête, après avoir donné l'assiette au sans abri. Un petit sourire se sculpta sur son visage angélique. « Je sais bien, ne te fais pas de soucis pour ça, puis êtres bibliothécaire, c'est tellement rare de nos jours, que je ne vois pas l'intérêt de me refuser. » Sa soif de connaissance, la ronger de jours en jours et donc lire était essentiel pour pouvoir minimum mener une vie -agréable- donc, travaillait dans le milieu de la lecture, la fasciner tout autant qu'un enfant qui scrutait du regard un gâteau au chocolat. Il n'y avait certes pas beaucoup d'étude à faire, mais elle aurait très bien put se présenter maintenant, elle aurait tout de suite était prise sur le champs, premièrement, car elle était douée et deuxièmement, comme elle venait de dire, c'était rare désormais. « On ne sait jamais, avec ce qui arrive ces temps-ci » Son père s'inquiétait pour la moindre chose, mais il s'en va de soit, que c'était compréhensible. Il n'avait pas tout à fait tord. C'était également depuis le départ de sa femme, mère de la jeune Meredith, qu'il se faisait autant de soucis. Harper, rêvait depuis toujours de prendre son envol, mais au cours de ce chemin, elle avait fait la connaissance du père de sa fille, dont elle était follement tombée amoureuse, mais ce qui ne l'avait pas empêchée de partir après avoir mis bas. Depuis, il déviait ce sujet et refuser de retomber amoureux. Il avait tenté tous les moyens pour récupérer l'amour de sa vie, mais s'en était définitivement finit. La blondinette, avait toujours était curieuse à son sujet, même si elle savait ce qu'elle avait fait, elle voulait connaitre cette inconnue, dont elle partageait le même sang. C'est ça, d'être curieuse de nature. Mais quand elle voyait que son père faisait une mine toute triste, elle arrêtait aussitôt. Certes, c'était agaçant, mais elle l'aimait, il l'aimait et c'était ample suffisant pour mener une vie de famille.

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« Je vous répète depuis une trentaine de fois que nous avons pas ce livre. » Dit-elle à la fois agacée est énervée à cet homme à l'allure d'un matcho, un jean déchiré, un t-shirt blanchâtre et des cheveux coupés. Quel bouquin recherchait-il ? L'histoire du cristal conquis. Elle, qui pourtant, avait un sacré niveau pour les livres, ne connaissait pas ce livre, non, ce titre ne lui évoquer rien et dans le registre, il n'apparaissait point. Faut dire, qu'elle avait réussi ses études et qu'elle faisait le métier de ses rêves, donc imbattable sur le sujet. Il caressa le visage de la blonde, qui se dégagea aussitôt. « Vous êtes fou ma parole ! Encore une fois ce geste et j'appelle la police ! Non mais vous vous croyez où? Dans un salon de rencontres, je veux bien être gentille, mais il y a des limites à ne pas franchir ! » Elle venait de pétait un plombs. Si seulement il y avait une poile, elle l'aurait aussitôt achever avec. Ce genre de personnes l'insupporter peu et elle savait s'en débarrasser, mais lui, au lieu de faire des gros yeux tout ronds, se contentait de rigoler. Au contraire de ce qu'il tentait faire, ça ne détendait pas l'atmosphère, ça l'empirait. Il posa une main sur son cœur et sourit. « Veuillez m'excusez, mais je ne pouvais m'empêchait de toucher cette beauté ! Une mauvaise habitude, de ma part. En ce qui concerne le livre, c'est qu'il est en cours d'écriture... » L'idiot, le débile, ces pensées ne lui traverser jamais l'esprit, mais cette fois, ça venait de toucher le fond. S'il comptait la séduire de cette façon il pouvait se rincer l'œil, mais se crever le globe oculaire. C'était la pire situation embarrassante qu'elle vivait, jamais de sa vie, quelqu'un avait osé la parler et la toucher de cette manière. Bon d'accord, enfaîte elle n'était sortit avec personnes, donc elle ne savait pas comment ça marcher, mais elle savait ce qu'elle voulait et ça, ça n'en faisait certainement pas partit. Non, mais vraiment, plus mal élever, mais tu meurs. « Puis là, comme une idiote, je suis sensée tomber amoureuse de vous ? C'est bien drôle, mais ça n'arrivera jamais. JA-MAIS ! Maintenant, prenez vos clics et vos clacs et sortez de ma bibliothèque avant que je fasse quelque chose que vous regretterez aussitôt. » Sans faire de manies, il est sortit de lotissement et a traçait sa route, comme bon client l'aurait fait. Pendant plusieurs minutes, elle était là, à essayer de se calmer. La fin de cette anecdote, c'est qu'en rentrant de chez elle, elle croisera le corps sans vie de cet inconnu au pied de sa porte, avec un mot enfouit dans sa main. Ne renonçait pas à l'amour, sans avoir eu le temps de goutter à cette sensation de bien être. Un jour, vous finirait par être comblée et la, vous me regretterez. Cet homme savait très bien ce qu'il manigançait depuis le début et pas une seule fois, elle avait eu l'impression que tout ça n'était qu'une leçon de vie. Comment avait-elle put passer à coté de ça. Elle était émue et avait les larmes aux yeux. Il c'était sacrifier en offrant de lui-même pour donner ce qui manquait à la jeune femme. Une confiance en l'amour. Le lendemain, même si nombreux morts s'empilaient de jours en jours, elle voulait absolument qu'on l'enterre. Il y avait qu'elle a ce moment-là, puis elle déposa un bouquet à la pierre tombal d'un coin vertu. Le seul qu'elle avait vu depuis qu'elle était né.

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Un an c'était écroulait depuis, jours pour jours, son père l'avait quitté. Mort. Elle se rappellera toujours de ce moment, par-terre à supplier qu'il revient, mais c'était trop tard, il gisait sur le sol, les yeux fermaient. Une marionnette qu'on aurait pue manipuler des heures entières. L'être qui l'avait élevé, chérie toute sa vie, venait de perdre la vie. Tant de sacrifices et c'était ça qui méritait ? C'est à ce moment-là que Meredith détestait autant de vivre, toutes ses leçons de moral pour en finir comme ça, c'était lamentable. Elle aurait voulu se jeter à la première fenêtre de haut étage, dès la première occasion, se pendre, ou même se taillée les veines ou s'inaugurer des médicaments et partir comme un oiseau. Puis vient le tour de la haine, plus que tout au monde, elle détestait sa mère. Elle aurait dû être à ses côtés, l'aider, lui donner tout son amour, mais au lieu de ça, elle avait tiré sa référence. Comment essayer de retrouver le sourire alors, qu'on venait de voir le cadavre de son père. Une aide ? Un indice ? Mais rien n'en vient. Meredith, était bouleversée et il lui aura fallu plus de six mois pour se remettre de ça. Elle l'avait encore en travers de la gorge. Elle était restée, car il ne fallait pas qu'elle crache sur lui, c'était une façon de le remercier de l'avoir mené jusqu'à là. D'avoir fait du bébé à ce qu'elle est devenue. Mais la vie, a bien était plus joyeuse, après avoir fait la rencontre d'une petite fille, sa fille maintenant. Apple, elle l'élève seule. Grâce à son aide, maintenant, la petite peut manger à sa faim, dormir paisiblement et rire à chaque blagues qu'elle lui sort. Puis, depuis un moment elles rêvaient toutes deux d'être prise pour Terra Nova. Et fut le jour de cette grande nouvelle. Choisit pour sa carrière, elle continuera d'exercer son métier dans une vie meilleure. Avec de la verdure, des fruits, de l'air, une seconde chance de pouvoir être ce qu'elle . Par exemple sauter d'une cascade d'eau, mangeait un bon festin de légumes qu'elle n'avait encore goutter. Maintenant un an qu'elle vit là-bas avec Apple et sa vie est meilleure de jours en jours.